LA VIE D’UN JEAN
Qui l’aurait cru ! L’Italie deviendra en 2020 (dès la rentrée prochaine) le premier pays du monde à inclure et rendre obligatoire l’étude du changement climatique et du développement durable aux programmes scolaires ! (déclaration du ministre italien de l’Éducation Lorenzo Fioramonti.)
De plus, l’Italie fait le choix de la transversalité en incluant, en plus d’une matière prédéfinit, l’étude du changement climatique dans l’enseignement des mathématiques, de la physique et de la géographie. Un pas en avant pour une éducation plus responsable ! (Source : Sciences et Avenir)
VIVRE AUTREMENT
Véritable laboratoire pour un changement de mode de vie, les éco-villages sont source d’information et d’inspiration !
Entre : vie en communauté, respect de l’environnement, vivre en harmonie avec la nature, ces villages développent des solutions innovantes pour adopter un mode de vie durable.
Les alternatives ? l’éducation, la santé, la lutte contre le réchauffement climatique, la régénération des écosystèmes, la production d’énergie propre, l’égalité entre les sexes, la mise en place de différentes formes d’économie, la résolution de conflit. Pour plus d’information, c’est ici -> clique
On reprend les études ?
L’université des colibris et zéro waste France lancent une formation en ligne gratuite (inscription jusqu’à fin novembre)
Mais en quoi ça consiste ?
Cette formation reprend le principe des 5R pour nous aider à comprendre « les impacts environnementaux, sociaux et économiques de nos déchets »
-> Refuser tous les produits à usage unique et privilégier les achats sans déchet.
-> Réduire sa consommation.
-> Réutiliser tout ce qui peut l’être.
-> Recycler tout ce qui ne peut pas être réutilisé. -> Redonner à la terre ( Composter ).
L’objectif ? Réduire sa quantité de déchets et réduire son impact en pollution et consommation d’eau induit par la gestion des déchets.
Vous y retrouverez des videos / des interviews / des fiches pratiques / des exercices
« Nous devons revendiquer notre droit au système alimentaire qui est le nôtre. Les grosses industries empêchent de faire vivre les économies locales. Faire vivre les économies locales, c’est préserver la biodiversité et la justice de paysans.
Il faut travailler les semences avec comme priorité à la résistance et à la qualité des semences, il faut intensifier cela par la diversité et non pas par les produits chimiques. » france inter – La terre au carré
